Derrière les quatre premiers minarets qui sont déjà sortis de terre et
qui donnent à la Grande Mosquée Massalikoul Jinaan toute sa forme, se
cache un cinquième minaret. Il va culminer sur 80 mètres. A cette
hauteur, certes il ne dépassera pas « Lampe Fall », à Touba, mais il
sera visible sur plusieurs endroits du territoire dakarois.
Lentement. Surement. Sans tambour, ni trompette. La communauté Mouride va bientôt finaliser le plus long minaret du Sénégal après celui de la Grande Mosquée de Touba. Les ouvriers s’affairent de jour comme de nuit au coulage. Du coulage glissant. Une technique rarement utilisée au Sénégal et qui est une expertise et une ingénierie de pointe.
Toute la rapidité du projet réside non seulement dans l’utilisation de cette technologie, mais surtout dans les moyens colossaux que ne cesse de mobiliser la communauté Mouride à la tête de laquelle se trouve le Khalif Général des Mourides Serigne Cheikh Sidy Makhtar Mbacké.
Ce dernier a, non seulement appelé à une levée de fonds mais il en est le contributeur majoritaire. En atteste les deux appels de levée de fonds demandant à tout Mourides de contribuer à hauteur de 500 frs CFA l’année dernière et 1140 frs cette année, lors du Grand Magal.
Une contribution que les mourides donnent avec beaucoup de plaisir. Les ouvriers réalisent 6 mètres de coulage par jour et ont une vingtaine de jours pour atteindre la longueur maximale. Ce qui mettra fin à une phase importante de ce chantier dont le coût est estimé à une vingtaine de milliards de francs cfa entièrement financé par la communauté Mouride. Un chantier qui est sous la supervision de Serigne Mbackiyou Faye le représentant du Khalif Général des Mourides à Dakar et Banlieue. L’homme d’affaires n’a depuis le début des travaux ménagé, ni son temps, ni son énergie encore moins ses moyens pour l’achèvement de ce projet si chère à Cheikhoul Khadim et à terme fera la fierté de toute la communauté Mouride en particulier et la Ummah Islamique en Général.
Cellule de Communication du Diwaan Massalikoul Jinaane
Lentement. Surement. Sans tambour, ni trompette. La communauté Mouride va bientôt finaliser le plus long minaret du Sénégal après celui de la Grande Mosquée de Touba. Les ouvriers s’affairent de jour comme de nuit au coulage. Du coulage glissant. Une technique rarement utilisée au Sénégal et qui est une expertise et une ingénierie de pointe.
Toute la rapidité du projet réside non seulement dans l’utilisation de cette technologie, mais surtout dans les moyens colossaux que ne cesse de mobiliser la communauté Mouride à la tête de laquelle se trouve le Khalif Général des Mourides Serigne Cheikh Sidy Makhtar Mbacké.
Ce dernier a, non seulement appelé à une levée de fonds mais il en est le contributeur majoritaire. En atteste les deux appels de levée de fonds demandant à tout Mourides de contribuer à hauteur de 500 frs CFA l’année dernière et 1140 frs cette année, lors du Grand Magal.
Une contribution que les mourides donnent avec beaucoup de plaisir. Les ouvriers réalisent 6 mètres de coulage par jour et ont une vingtaine de jours pour atteindre la longueur maximale. Ce qui mettra fin à une phase importante de ce chantier dont le coût est estimé à une vingtaine de milliards de francs cfa entièrement financé par la communauté Mouride. Un chantier qui est sous la supervision de Serigne Mbackiyou Faye le représentant du Khalif Général des Mourides à Dakar et Banlieue. L’homme d’affaires n’a depuis le début des travaux ménagé, ni son temps, ni son énergie encore moins ses moyens pour l’achèvement de ce projet si chère à Cheikhoul Khadim et à terme fera la fierté de toute la communauté Mouride en particulier et la Ummah Islamique en Général.
Cellule de Communication du Diwaan Massalikoul Jinaane
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