On se rappelle l'histoire de Bouna Fall, ce chanteur de khassaide qui
officiait auprès de Serigne Touba quand ils étaient au Djolof. En effet
quand Bouna fut décédé c'est Serigne Touba lui-même qui apporta un
linceul qu'il avait reçu des mains du Prophète Mouhammad (PSL).
Celui-ci étant selon Serigne Touba, le pourvoyeur du linceul que doit
porter tout chanteur de khassaide décédé sur ce champ. Bouna FALL est
bien connu des anciens. Il habitait au village de Garague, dans le Walo.
Serigne Touba nous confie par écrit que quand ses khassaides sont
déclamés les anges entrent en transe et l'Arche de Dieu se met à se
balancer.
Mes écrits conduisent le mouride, le novice jusqu'à l'enceinte bien
gardée de DIEU. Sans besoin de passer entre les mains d'un cheikhoul
tarbiyah, un éducateur. Dieu a mis dans mes écrits le secret de la formule lahilaha ila lah.
Serigne Saliou MBACKE rapporte qu'un jour Serigne Touba
demanda aux membres du Kurël de se rapprocher et il leur apprit que les
khassaides sont comme des oiseaux, les interprètes sont les ailes et
l'auditoire les plumes. Un autre jour il tendit ses deux doigts en
s'adressant au public en disant les chanteurs de khassaides et moi
serons ensemble jusqu'au paradis.
Source : www.tawfeh.com
Ndeysaan, amna solo lol sakh.
RépondreSupprimerDane na degg Baay Saam MBAYE mou dane wakh nane, sikarkat moom, loum la nourrou nourrou nittou neen, diapal néé dou nittou neen. Ndakh Tourrou sounou BOROM yi dagno diss té kepp koukay faraal di touddou, sakho ci sa lamigne, meuno nekk nittou neen, rawatina nak ngay tewlou.
Mes respects à tous les kourel kat !!!
Dieure ngen dieuf, vous méritez bien ces bienfaits, vous qui déclamez les écrits de Cheikhoul Khadim.