Nous
avons constaté avec satisfaction que la tradition des "Ndogous
humanitaires" a commencé à se vulgariser un peu partout au Sénégal.
Puisse le Seigneur en rétribuer les auteurs. C'est le lieu de rendre
hommage à la communauté Baye-Fall, pionnière et précurseur, depuis
l'étape de Diourbel (1912-1927), de cette pratique populaire au Sénégal,
selon les recommandations de Cheikh Ahmadou Bamba.
Et ce qui ne manque pas
d'être extraordinaire, c'est que Cheikh Ibrahima Fall et ses vaillants
descendants ne cessent chaque année de dépenser (discrètement) des
centaines de millions de Francs en aliments, en centaines de bœufs, en
milliers de volailles, en boisson etc. et de s'engager physiquement pour
les indigents. En consacrant "tous leurs biens et (physiquement) leurs
personnes sur le Sentier de Dieu" (Coran).
Les montants des budgets y
étant consacrés (en dehors de tout "sponsor officiel", il faut le
savoir) étonneraient plus d'un. Ceci, dans une abnégation indescriptible
et surtout une sincérité (Ikhlâs) qui s'opposent aux fréquentes
opérations médiatiques de certains Ndogou de notre "Islam showbiz"
actuel. Un modèle d'engagement cultuel et d'humanisme Baye-Fall qui
devrait faire également tâche d'huile dans toutes les rues de Dakar et
du Sénégal. Après l'adoption nationale du Café Touba, en serions-nous à
Cheikh Ibra Fepp ? En tous cas, Mame Cheikh Merci...
serigne aziz mbacké linga wakh boudoon wékhla niouné tall boudoon nioull la niouné koukk boudoon xonnkk la niouné pecc boudoon mbokk feussna daradiay serigne bassirou mbacké
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